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Science Pastafariste

30 juin 2012

Cohabitation Dinos - Humains

Nous cohabitions voici 4500 ans, en voici quelques preuves :

La série Dinotopia :

dinotopia

Dino_congo

Un Mokele Mbêmbe (qui arrête le fleuve) au Congo.

 

 

 

 

 

Petite vidéo sur un safari de contrées reculées en Argentine :

 

 

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29 juin 2012

Macronariens

Autre famille de géants avec des brachios, mais aussi les titanos, ces titans méconnus qui furent aussi grands et longs que les diplos... et plus nombreux. Manque de peau pour eux (certains avaient des écailles), il y en avaient moins en amérique.

Alors forcément c'était moins intéressant pour les fondus de dinos américains. Ethnocentrisme quand tu nous tiens : Ainsi longtemps la thèse d'une disparition progressive des dinosaures s'est opposée à l'explication catastrophiste, basée uniquement sur le déclins de quelques familles de dinos en amérique du nord avant. Sauf que les dinos pétaient la santé partout ailleurs dans le monde...

Donc nos ArgentinoS., FulatognkoS., PuertaS. et surtout BruhathkayoS. fleurtaient tous avec les 35, 44 m et frisaient avec la centaine voir 200 tonnes à une louche près.

En général les dinos sont des bêtes assez frustres et associales, en fait ils ne peuvent pas se sentir. Sauf les macronariens qui, comme leur nom l'indique (macro-narines), se sentent très bien ensembles : Ce sont des animaux grégaires qui aiment bien vivre en troupe, et se retrouver à la messe le dimanche.

MacronariensAlors voyons nos chérubins :

CAMARSAUROMORPHES
 

Camarasaure

 
 
 

Europasaure

 
 
 
 

Galvesaure

 
 

Tehuelchesaure

 
 

 

 

 
 

Janenschia

 
 

Tastavinsaure

 
 
 
 

Euhelopus

 
 
 
 

Chubutisaure

 
 

Wintonotitan

 
 
TITANOSAUROFORMES
 

 Brachiosaurides

 
 
 

Phuwiangosaure

 
 

Titanosauriens

 
 
 
 
 

 

 

 
 
 

Futalognkosaure

TITANOSAURIENS
 

Andesaure

 
TITANOSAURIDES 
 
 

Malawisaure

 
Lognkosauria
 

Mendozasaure

 
 

 Futalognkosaure

 
 
 
 
 

 Epachthosaure

 
EUTITANOSAURIENS
 

Aeolosaurini

 
 
 
 

Gondwanatitan

 
 

Aeolosaure

 
 
 
 

Rinconsaure

 
 

 Loma Lindero sp

 
 
 
 
 

Lirainosaure      

 
 
Opisthocoelicaudiines
 

Chubutisaure

 
 

Wintonotitan

 
 
SALTASAURINES
 

Neuquensaure

 
 
 

Saltasaure

 
 

Rocasaure

 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ampelosaure

  Ampelosaure déclinant une invitation à diner de la part d'un Tarascosaure

Ptite_bouffIl y a des limites à la convivialité tout de même.

 

27 juin 2012

Diplodocoïdes

DemandasaurePas mal de familles ici... Suivant le "principe Pâsta" : "Plus qu'un animal il est grand, plus qu'on a de chance de tomber sur un os", les grosses bestioles sont plus facilement retrouvées que les petites... D'autant que certains chasseurs de dinos amateurs recherchent plus l'exceptionnel que le tout venant.

REBBACHISAURIDES
 

Histriasaure

 
 
 

Rebbachisaure

 
 
Nigersaurines
 

Zapalasaure

 
 
 

Demandasaure ("Spanish rebbachisaurid")

 
 

Nigersaure

 
 
 
Limaysaurines
 

Limaysaure

 
 
 

Cathartesaure

 
 

Rayososaure

 
 

Dicraeosaure 

 

 

Dicraeosaure

 
 

Brachytrachelopan

 
 

 Amargasaure

 

 DICRAEOSAURIDES :

 

Seismosaurus

DIPLODOCIDES
 Apatosaurines
 

 Suuwassea

 
 
 

Atlantosaure

 
 

Eobrontosaure

 
 

Apatosaurus

 
 
 
 Diplodocines
 

Supersaure

 
 
 

Dinheirosaure

 
 

Tornieria

 
 
 

Barosaure

 
 

Diplodocus

 . . . . . .

 . . . . . .

 . . . . . .

 . . . . . .

 . . . . . .

Amargasaure

 

 

 

 

 

 

 Alors les diplodocides avaient les pates les plus courtes des sauropodes proportonnellement, c'est ainsi qu'ils furent affublés du sobriquet de Sauro-teckels par les pirates en leur temps.

Demandasaure

130

Espagne (Castrillo la Reina)

   

Histriasaure

130

Croatie

   

Limaysaure

Crét -

Argentine (Lohan Cura)

15 m

7 t

Zapalasaure

crét -

Argentine-Neuquina

   

Amazonsaure

125-110

Brésil-amazonie

12

 

Nigersaure

120-100

Niger (Elrhaz)

9

 

Rebbacchisaure

100

Afrique-Amérique S

20

 

Rayososaure

100

Argentine (Rayoso)

   

Cathartesaure

100-85

Argentine (Huincul)

   

Suivants : cous courts

       

Dicraeosaure

155-150

Tanzanie (Tendaguru)

12

 

Brachytrachelopan

150-145

Argentine (Chubut)

10

 

Amargasaure

130-125

Argentine (Amarga)

10

 

Suivants : pattes courtes

       

Dystrophaeus

156

USA-Utah (Morrison)

13 ?

 

Apatosaure

154-156

USA

23

23

Atlantosaure

150

USA-Colorado (Morrison)

23

23

Eobrontosaure

154

USA (Morrison)

21

 

Diplodocus

154-150

USA

27-35

10 à 16

Supersaure (D longus)

153

USA (Morrison)

34

35-40

Seismosaure (D hallorum)

154-140

USA-New Mexico

40-52

45

Amphicoelias

150

USA (Morrison) & Wyoming

40-60

113 ?

Dinheirosaure

155-150

Portugal (Camadas de Alcobaça)

   

Barosaure

150

USA (Morrison)

26

20

Tornieria (baros)

150

Tanzanie

26

 
27 juin 2012

THEROPODES

Aaahh... les sympathiques bestioles ! Du carnivore en veux-tu -en voilà ! Des créatures de cauchemard qu'on n'avait même pas imaginées possibles en vrai (les dragons, c'était tout juste bon pour les histoires aucoin du feu).

Les autres dinos ne sont que de paisibles brouteurs, tous les méchants se sont regroupés dans une même famille pour mieux festoyer entre eux, en tenue d'apparat. Car ce sont eux qui ont inventé les plumes, juste pour faire joli.tyranno_emplum_

 Shaochilong 

THEROPODES
Ceratosauriens

 

 

 Coelophysoides

 

 

 Neoceratosauriens
 

 Ceratosaurides

 
 

 Abelisauroides

 
 

 

 
TETANURES
 

 Megalosauroides

 
 Avetheropodes
Carnosauriens
 

 Monolophosaurus

 
 

 Allosauroides

 
 
 Coelurosauriens
 

 Compsognathides

 
 Tyrannoraptors

 

 

 Tyrannosauroides

 
 

 Maniraptoriformes

 

 

 
 
 
 
 

 

TYRANNORAPTORS
 

 Tyrannosauroides

 
 MANIRAPTORIFORMES
 

 Ornithomimosauriens

 
 MANIRAPTORS
 
 

 Oviraptorosauriens

 
 

 Therizinosauroides

 
 
 PARAVES
 

 Deinonychosauriens

 
 

  Aviales (oiseaux)

 
 
 
 
 

.

27 juin 2012

SAUROPODES

Une des super familles phares des dinos, car ce sont les plus gigantesques parmi le gigantisme ambiant.

On chuchote, pour ne par réveiller un carnosaure, que certains auraient atteint 60m (15 épléphants), 210 tonnes (30 éléphants), et 18 m de hauteur (6ème étage soit 7 en tout, ou plus de 3 giraffes).

Allez le ponpon est décerné au titanosauride Bruhathkayosaurus pour un poids estimé à la louche et Touché Nouillu de 180 à 220 t, au diplodocide  Amphicoelias pour une longueur idem de 40 à 60m, et au brachisosauride Sauroposeidon pour la hauteur (18 m plus précisément)

Un fémur de 2.2 m, et un fragment de fémur encore plus gros, donne une longueur de 33 à 40 m pour un sauropde en Charente, le plus gros d'Eurpope.

Comment en est-on arrivé là ?

Il y a 4 979 ... ans un batracien gre-Nouillesque et pré-dinosaurien croisa un boeuf, ataviquement il voulut se faire aussi grosse que lui, et retint sa respiration pour enfler. La peau des batraciens de l'époque étant plus épaisse, cette gre-Nouille n'éclata pas mais devint giganteque... Et voili voilà...

Voir notamment nos deux familles phares : Diplodocoïdes et Macronariens (brachios et titanos)

SAUROPODES
 

 Melanorosaurus

 
 

 Camelotia

 
 

 Blikanasaurus

 
 
 

 Lessemsaurus

 
 

 Antetonitrus

 
 
.... 
 

 Gongxianosaurus

 
  Gravisauriens
 

 Vulcanodon

 
 

 Tazoudasaurus

 
 

 Isanosaurus

 
 Eusauropodes
 

 Shunosaurus

 
 

 Patagosaurus

 
 

 Omeisaurus

 
 

 Mamenchisaurus

 
 

 Barapasaurus

 
 

 Cetiosaurus

 

 ...Neosauropodes

 

Diplodocoides

 
 

Macronariens (camara-brachios-titanos)

 

 

 
 
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27 juin 2012

SAUROPODOMORPHES

SAUROPODOMORPHES
 Guaibasauridae
 

ISI R277

 
 

Panphagia

 
 
 

Guaibasaurus

 
 Saturnaliinae
 

Chromogisaurus

 
 

Saturnalia

 
 
 
 
 
 

Pantydraco

 
  
 

Thecodontosaurus

 
  
 

Nambalia

 
 
 

Efraasia

 
  
 

Plateosauravus

 
  
 

Ruehleia

 
 Plateosauria
 

Plateosauridae

 
 Massopoda
 

Riojasauridae

 
 
 

Anchisauria

 
 

Massospondylidae

 
26 juin 2012

DINOSAURES

Les Dinosaures par Familles

Yaargh ! En tant que pastafariens nous aimons bien les Dinosaures : C'étaient nos animaux de compagnies il n'y a encore pas si longtemps (voir la série "dinotopia") ... Ai-je oublié de vous prévenir que cette présentation des dinosaures était soit très sérieuse sur le fond, mais un tantinet humoristique ? Prenez la donc pour ce qu'elle est : Une présentation théologique humoristique à la manière créationniste. Il y a du vrai et du décalé : à faire vous même le tri comme tout ce qui concerne les révélations scientifiques d'ailleurs... Les datations y seront scientifiques par respect pour le Touché Nouillesque de notre Espièglité Divine Spaghetienne.

Nous vivons ensembles : quelques preuves > ICI <

b_b__dino_2 Les dinosaures interrogent l'humain sur sa vanité d'espèce dominante : D'autres nous ont précédé, que leur statut de dominants n'a pas protégé de la sélection naturelle. C'est aussi une leçon de politique : Les dominants d'aujourd'hui ne le seront toujours... C'est la Grande Bretagne Victorienne qui s'interressa à eux en premier, talonnée par le Reich Germanique, avant que l'Hégémonisme Américains prennent le devant, désormais l'Ex-Chine Impériale s'y intéresse :  communauté d'esprit et totemisation des puissants qui se reconnaissent en eux (sans pour autant en tirer les leçons). La France paléonthologue préfère quand à elle s'intéresser à une valeur sûre : Une espèce de singe ayant fait une percée assez remarquable depuis 3 -4 millions d'années seulement... Vanité quand tu nous tiens.


Une question se pose d'emblée :

Les Dinos étaient-ils intelligents ?

Les dinos étaient des êtres extrèmement rafinés et sensibles, mais il y avait bien quelques "tâches" dans la famille.

dinosaurJ'ai ainsi pu visionner un documentaire fort sérieux sur une ancienne expédition en des contrées inconnues. Elle y était attaquée par un groupe de dinos patibulaires qui en voulait. C'était en noir et blanc, et les dinos n'avaient pas l'air très dynamique, on eut dit qu'ils étaient en carton pâte, et ils tombaient d'un bloc sur le coté quand ils mourraient.

Mais l'expédition finit par avoir raison de ces effrayants agresseurs.

Et de faire un débriefing des plus serrés sur l'évènement :

"- Oh ! J'ai j'ai eu très peur, dit l'un d'eux, J'ai bien cru que je n'en viendrais jamais à bout. J'avais beau tirer encore et encore, vider mes chargeurs sur eux, ils continuaient à avancer. Je redoutais de manquer de munitions avant qu'ils n'arrivent sur moi..."

"- C'est normal, répondit le scientifique de l'expédition, les dinos ont un cerveau si petit qu'ils mettent un certain temps à comprendre qu'ils sont morts, et continuent d'avancer jusqu'à ce qu'ils le réalisent.

Ne gaspillez donc pas vos munitions, tirez juste ce qu'il faut pour les tuer, ensuite il n'y a qu'à attendre qu'ils tombent"

Ses compagnons restèrent pantois devant la pertinence d'une telle érudtion.

Et j'ai aussi trouver cette explication scientifique lumineuse... dans son rapport avec le Toucher Nouillesque Scientifique : On se demande parfois où il va chercher tout ça, Sacré Nom de Monstre, vas !

Et bien sûr, quand on parle dino, on parle d'abord de soi.

La question reste :  Sommes nous donc plus intelligents qu'eux ?sup_riorit__1

Car nous sommes dominants comme eux naguère : en celà nous nous identifions à nos grands ancêtres qui avaient cette âme de conquérant qui est la nôtre. Mais aussi ils ont disparus, donc nous ne serions pas à l'abri non plus. Sauf qu'on se rassure sur les différences surlesquelles nous avons assis nos supériorité : Au moins nous c'est notre intelligence qui a présidé à notre domination.

Mais je subodore l'analyse d'un E.T. paléonthologue dans quelques années sur notre disparition : "le cerveau humain était de taille intermédiaire entre celle des dinosaures et les races supérieures. Elle était suffisante pour asseoir leur suprématie, Mais pas suffisante pour se rendre compte des limites de leurs prétentions, et pouvoir les gérer intelligemment.

La question n'est pas tant de faire une analyse comparive de nos intelligences respectives, que de savoir si notre niveau d'intelligence est suffisant pour ne pas constituer un handicap à terme.


 

 

Voyons donc cette épopée dinosaurienne . (Si vous n'avez pas encore lu, vous êtes libres de voir, ou pas, nos dernières hypothèses sur leur disparition > ICI < .)

Les Tableaux se présentent ainsi :

 Nom du dino

ère:       M d'a 

Lieux de villégiature 

 Taille

 Poids

SAURISCHIENS

Les Saurischiens comprennent les sauropodes, c'est à dire les plus gros dinosaures herbivores (diplodocus - brachiosaures - titanosaures, etc.), Aussi les thérapodes, c'est à dire tous les carnivores (tyranosaures, spinosaures, vélociraptors, etc.), plus les thérizinosaures bipèdes herbivores.

 THERIZINOSAUROIDES

 Ceux là on les aiment : Touché par L'appendice Nouillu du Monstre dans leurs recherches scientifiques, Ils ont posés pas mal de problèmes de classification.

Bien que tardivement classés comme Saurischiens, on a vu en eux les chainons manquants entre Ornithischiens et Prosauropodes, entre Dinosaures et Oiseaux, bref des inclassables. D'où la dénomination de certains : "reptile énigmatique" ou "innatendu". Ce qui est assez savoureux pour des dinosaures, qui ont tous été au départ enigmatiques, inattendus et forts improbables. Leur apparente survenue est assez tardive (crétacé), et ont survécu jusqu'à la fin.

En fait ce sont des saurischiens bipèdes commes les thérapodes carnivores, mais ils sont herbivores comme leurs homologues bipèdes ornitischiens. Et leur ossature révèle de grandes similitudes avec les oiseaux, ce sont d'ailleurs des emplumés qui pouvaient avoir des griffes de 1 m de long (i/10e de sa taille)

NuptialeJe ne résiste pas à vous montrer une illustration, copiée de nos ancètres, sur la parade nuptiale énigmatique de l'énigmosaure :

Mais à quoi ressemblaient-ils donc ?

Segnosaue 

 

 

 

 

  Arbre généalogique :

THERIZINOSAURIA
 

Falcarius

 
 THERIZINOSAURoïDES
 

Beipiaosaure

 
 
 

Alxasaure

 
 
 

Erliansaure

 
 
 

Neimongosaure

 
 
 

Enigmosaure

 
 
 

Suzhousaure

 
 THERIZINOSAURIDES
 

Nanshiungosaure

 
 

Segnosaure

 
 

Erlikosaure

 
 

Therizinosaure

 
 NOTHRONYCHUS
 

Nothronychus mckinleyi

 
 

Nothronychus graffami

Falcarius

126

USA (Utah)

4

 

Beipiaosaure

125

Chine

2,2

 

Alxasaure

112 - 110

Chine (Alxa – mong int)

3,8

 

Erliansaure

72 -68

Chine (mong int)

4

0,4

Neimongosaure

72 - 68

Chine (Nei Mongol)

2,3

 

Enigmosaure

98 - 89

Mongolie

5 à 7

1

Suzhousaure

105 ?

Chine

6

1,3

Nanshiungosaure th

78 -70

Chine (yuanpu- Xinminbao)

5 à 6

0,7à 1,3

Segnosaure th

93

Mongolie (Bayan Shireh)

6

1,3

Erlikosaure th

90

Mongolie (Ömnögovi)

4,5

0,5

Therizinosaure th

70

Mongolie (Nemegt)

9 à 10

5

Nothronychus th

91

USA (w)

4,5 à 6

 

 Allez pour la suite  : Un petit menu généalogique 

SAURISCHIENS
 

Eoraptor

 
 
 

Saturnalies

 
 

? Thecodontosaurides

 
 

Prosauropodes

 
 

SAUROPODES

 
 
 THEROPODES
 

Ceratosauriens (incl. † Coelophysoides)

 
 TETANURES
 

Spinosauroides

 
 Avetheropodiens
 

Carnosauriens

 
 

   Coelurosauriens

 

.

ORNITHISCHIENS
 

PisanosaurePisanosaurus.jpg

 
 
 

HeterodontosauridesFruitadens.jpg

 
 
 

Eocursor

 
 Genasauriens
 

Lesothosaure

 
THYREOPHORES
 

ScutellosaureScutellosaurus.jpg

 
 
 

Emausaure

 
 
 

Scelidosaure Scelidosaurus2.jpg

 
 
 

Stegosauriens Stegosaurus BW.jpg

 
 

AnkylosauriensEdmontonia dinosaur.png

 
 
 
 
 
 Neornithischiens
 

Stormbergia

 
 
 

AgilisaurusAgilisaurus2.jpg

 
 
 

Hexinlusaure

 
 
 

Othnielosaure

 
 Cerapodes
 

ORNITHOPODES Parasaurolophuspic steveoc.jpg

 
 Marginocephaliens
 

Pachycephalosauriens  Pachycephalosauria jmallon.jpg

 
 

CERATOPSIENS  Triceratops BW.jpg

La Famille des ornithischiens (du ch'ti : "p'tit chien") nous apprend  une chose par défaut : L'argent va à l'argent et le pouvoir aux puissants (sauf révolution K Téchoise). Car cette famille de dinos n'a pas réussi à pondre un seul carnivore en 160 millions d'années tout de même. Les carnivores sont donc tous saurischens... comme si, une fois tellement spécialisés, ils avaient barré la possibilité de se reconvertir à tout autre prétendant herbivore affamé. Seuls les ptérosaures dans les airs, et les espèces aquatiques, dans leur domaine échappant aux dinos, y réussiront.

Eun tchiot vidéo sympa :

10 octobre 2011

temporalité implosive

& questions diverses

Donc nous avons supposé que les particules élémentaires de l'univers lors du big crunch se seraient mises à imploser * à la vitesse de la lumière en même temps que l'univers entier. (voir la page "Relativité Pasta I")

 * Nota Bene : Je rappelle qu'on a pris un référenciel implosif, mais qui peut tout aussi bien se retourner comme un gant en référentiel explosif tout en restant valable... même que certains éléments me font plutôt penser à un modèle explosif, mais c'est plus clair à "visualiser" implosivement, mais à l'occasion je change de référenciel quand la vision est plus évidente dans le miroir.

Nous l'avons supposé comme une bulle de savon éclatant (ou plutôt implosant) . Sauf que notre bulle de savon n'est pas vide, essentiellement composée de vide. C'est un vide rempli de particules de poussière : Ce n'est pas tant une bulle constituée d'une enveloppe, mais une bulle constituée d'une multitude de bulles interne éclatant (s'éffondrant) toutes en même temps.

Mais lorsqu'on observe l'éclatement d'une bulle au ralenti, on s'apperçoit que le phénomène n'est pas en général aussi instantané qu'il n'y parait. Il y a toujours un point faible qui cède en premier, entraînant de proche en proche l'éclatement quasi instantané du reste de la bulle. Imaginons donc que notre univers n'implose pas de façon tout à fait uniforme, mais que diverses zones soumises à la même pression commencent à imploser quasi concomitamment avant leur voisines, les entraînant quasi immédiatement dans leur sillage.

Ces infinitésimes laps de temps créent néanmoins des disparités dans les différentes zones du nouvel univers en termes de différences temporelles dans les débuts d'effrondrement de ces zones. Il y aurait ainsi des zones plus ou moins en avance ou en retard dans cette implosion. Même en termes de milliardième de milliardième de nano-seconde ces disparités créent d'importantes perturbations dans l'homogénéïté de ce nouvel univers : N'oublions pas que l'implosion se ferait à la vitesse de la lumière, les micro retards respectifs entre les différentes zones, qui peuvent n'être qu'à l'échelle corpusculaire comme inter-galactique, se solderaient par un grumelage de cet univers à tous les niveaux.

Si l'on observe le bruit de fond du big bang (qui serait un big crunch vu en externe), on observe bien ces disparités.

La théorie veut que ces disparités aient créé à terme la matière.

De fait la matière "visible et palpable" ne serait qu'un ensemble de particules en retard (ou en avance ?), sur le reste de la matière "noire" (? - invisible et impalpable) dans la moyenne de l'implosion de l'univers. Ce qui déterminerait la nature palpable et visible de cette matière serait en fait qu'elle appartiendrait à notre temporalité d'implosion propre, le reste ne nous apparaîtrait que comme ondes énergétiques ou lumineuses dans une "temporalité proche", et échapperait carrément à notre perception comme la "matière noire" dans une "temporalité plus éloignée".

 Ces différences de temporalité entre les différentes "particules" ** arriveraient par micro vagues comme des ondes dans le perpétuel mouvement de l'univers.

oreillades_1** Le mot est impropre, zones d'émergences pourrait-on dire à l'orée de nos perceptions respectives dans nos temporalités propres. Allez, je les appellerais "oreillades" parce qu'à l'orée de nos perceptions respectives, et que lorsque je me réveille à l'aube d'une nouvelle temporalité c'est toujours sur mes oreillers...et puis les oreilles pour le bruit de fond de l'univers c'est important... Joli !

Alors pour moi "oreillade" désigne toutes les "particules" dans leurs champ de temporalité respectives qui auraient les même proprités dans ces temporalités différentes, mais dont la perception varierait suivant la temporalité dans laquelle se situe l'observateur : Matière, énergie, ondes, matière noire sont toutes des "oreillades" donc.

Reprenons le schéma ci dessus :

D'abord,  j'imagine les vagues plutôt par milliers (pas 3 ou 4), les premières particules (oreillades) ayant implosées sont sans doute moins nombreuses que celles du plein "boum", et les retardataires étaient sans doute moins nombreuses aussi.

Mais aussi si l'on imagine que notre univers est un trou noir, ce petit train d'ondes qui correspond à l'implosion initiale de notre "bulle" est peut-être alimenté en permanence par des particules happées en continu par notre bulle qui les feraient imploser de même dès leur arrivée dans sa sphère : Ladite implosion pourrait tout aussi bien être continue, et ne pas s'être cantonnée à un évènement quasi ponctuel. Les "vagues" ne seraient alors plus tant justes les différentiations de temporalité de l'implosion initiales, mais aussi une temporalité des implosions des éléments externes la nourrissant en permanence.***

Voyons un peu comment s'organise la matière et l'énergie (nos oreillades) dans ce système schématique ?

Chaque oreillade est portée par une vague d'implosion temporalisée, et cette implosion se poursuit. C'est à dire que les oreilades d'une temporalité (vague) ont un temps de retard sur la vague précédente, mais aussi que, le tout implosant en permanence, cette vague se retrouve très vite (quasi instantanément) au stade d'implosion de la vague précédente (qui a fait son chemin entre temps). Nous avons bien donc affaire à des vagues comme sur nos rivages qui se succèdent (mais à la vitesse de la lumière !).

Ceci dit, la métaphore a ses limites, en fait, le chemin de chaque vague suit le sillon tracé par la précédente.

Chaque "train" d'oreillades est sur des rails posés par son prédécesseur, qui arrive dans sa "mouvance" si on peut dire. Ceci dit l'univers suit en général sa course aveugle prédéterminé par l'état dans lequel il se trouve à un instant "t" ET... la dynamique des éléments à cet instant. Mais tout de même arrive parfois dans des contextes particuliers des possibilités à une partie de cet univers de gérer son devenir : C'est l'émergence de la vie. Enfin il n'y a peut-être pas que cette forme qui le permette : on peut imaginer qu'un jour l'intelligence artificielle puisse s'émanciper d'une forme de vie qui l'aurait fait naître. De même l'organisation inter-galactique peut se concevoir comme un super organisme qui pourrait devenir vivant ici où là  par le fruit du hasard, et arriver ainsi à gérer partiellement sa propre organisation dans une dynamique de maîtrise de son devenir ! ? ! Et pourquoi pas, et si ça tombe nous ne sommes peut-être qu'un rouage de cette maîtrise supra galactique, comme les bactéries permettent au corps de vivre par symbiose, et comme chaque humain est un rouage de l'humanité en soi... elle même rouage du "vivant".

Parce que quand même ce qui nous importe ici, c'est de savoir comment mieux maîtriser notre temporalité en tant qu'organisme vivant : personnellement, mais aussi sociétalement (la société est une forme d'organisme "vivant" en elle-même).

Alors comment dire : la vie est tout autant tributaire d'un certain déterminisme que l'univers indéterminé dans son destin (du moins on suppose). La vie émerge à un moment donné, dans un contexte matériel qu'elle n'a pas choisi : à la limite les générations précédentes (vagues) l'ont relativement façonné pour elle. Tiens ! ça nous rappelle queque chose. Mais comment dire, si la vie est mise sur des rails d'emblée, elle peut fabriquer des aiguillages, pour elle même ou pour sa suite, la prochaine vague. (voir "les Langoliers" de Stephen King)

L'image de la vague est assez parlante : Ainsi un rondin a-t-il souvent été laissé dans une certaine position  par la vague précédente, suivant son orientation et l'orientation de la vague suivante, il va être déporté vers la droite ou la gauche plutôt que d'aller tout droit dans le sens de la vague. L'univers d'oreillades marche ainsi au grès des effets gravitationnels ou autres, des collisions de galaxies et autres rencontres cataclysmiques : Ça bouge...

Le vivant dans la vague se comporte en surfer, à chaque vague il apprend à mieux maîtriser le rondin qui lui sert de planche de surf, et finit par avoir une certaine maîtrise de sa trajectoire, il apprend même à modifier son rondin pour en faire un meilleur instrument de maîtrise. La vague le prend où il est ,certes le pousse dans un certain sens, mais il peut influer sur cette direction. Bon, parfois sa technique n'est pas au point, fait des choix hasardeux, la vague est parfois trop forte, voir, si une tempête se lève, il peut perdre tout contrôle. Mais ce n'est pas un rondin.

 

Ici nous allons inverser le sens de la temporalité habituelle. Notre histoire d'espèce sujette à la sélection naturelle nous fait penser schématiquement que nous sommes déterminés par le passé de notre espèce.  Mais dans notre concept oreilladeux, c'est l'inverse qui se produit. Ici l'image du surfeur doit être prise dans le sens où nous ne pouvons surfer que sur notre vague, et notre vague arrive à l'endroit où d'autres surfeurs sont passés avec les vagues précédentes. Alors ils ont préparé le terrain, dégagé les algues, fait sauté le rocher à fleur d'eau, tué le requin, etc. comme notre génération précédente quoi.

Sauf, sauf que là, l'endroit en question est une temporalité où ils seraient passés avant nous dans notre avenir si l'on peut dire. Ce n'est pas nos "parents" qui auraient travaillé le passé pour nous laisser une bonne base matérielle et conceptuelle pour mieux maîtriser notre destin : et à nous de construire notre devenir en fonction de la dynamique crée précédemment.

Dans notre concept, ce serait nos "parents" qui auraient été dans l'avenir (qui se déroule éventuellement aussi dans notre présent, mais dans une temporalité qui nous échappe) pour que les autoroutes y soient construite par avance quand nous arriverions (ils ne l'auraient pas fait dans le passé mais dans l'avenir). Ce serait plus parlant avec de l'évênementiel. Imaginons la crise économique de 1929 : Avant qu'elle n'arrive quelqu'un de l'avenir serait venu pour faire en sorte qu'elle n'existe pas en mettant des gardes fous économiques à l'avance, pas de monté des extrémismes, pas de guerre mondiale. Et bien nos vagues d'oreillades précédentes font ça, elle travaillent par avance notre "futur présent" (pas forcément positivement d'ailleurs, aussi bien le surfer de la vague précédente n'était qu'un rondin brut). Elles travaille notre devenir à l'instant présent

Mais peut-être, peut-être ? que c'est ce que nous faisons pour la vague suivante nous leur laissons le monde dans un certain état qui va leur tomber dessus tel quel. Mais je ne parle pas de notre progéniture, mais d'un autre monde d'une autre temporalité qui va arriver dans notre temps présent dans le futur tel que nous l'auront laissé.

Argh ! difficile à suivre. D'autant que j'en rajoute une louche : La temporalité suivante a peut-être son monde matériel organisé à sa façon qui n'aurait rien à voir avec la nôtre (aussi bien c'est des dinos qui règnent sur terre, voir la terre n'y existe même pas, et leur univers est bâti avec d'autres lois fondamentales, c'est tout dire !). Alors quelle est notre influence ? Peut-être tout simplement que si nous perturbons (influons) sur la dynamique de notre univers palpable cela aura une influence sur l'univers qui nous succédera dans le temps, un peu comme l'industrie des pays occidentaux va faire que des îles de l'océan indien ou du pacifiques vont disparaître. Comment ? on ne sait pas encore de quelle façon. C'est l'effet papillon, on ne sait sait le battement de l'aile d'un papillon amènera l'orage ou le beau temps au bout du monde dans six mois, mais il se peut que ça ait une influence. Bon on est un peu égocentrique on aimerait bien être responsable de tout, et pouvoir faire en sorte que ce qu'on fait de bien ici ait un effet bénéfique dans cet "ailleurs".

Voyons le schéma suivant :

effondrement_pastaIl se peut aussi que l'effondrement organise les différentes temporalités en maelstrom (tourbillon). Le tourbillon s'organise dans l'engorgement dans l'implosions : Cet engorgement freine l' effondrement, et suivant la dynamique de cette implosion , due à cet engorgement, les oreillades vont être globalement déportées vers la droite (ou la gauche) créant un maelstrom. Les vagues peuvent être alors vues comme les remous de ce maelstrom comme ceux des branches d'une galaxie : en allant vers le centre de notre galaxie en ligne droite (dans notre dynamique implosive), on y rencontrera d'autre bras de ces remous, et on retombera sur un remous de notre propre bras spiralé.


La matière et l'énergie :

Einstein a démonté que la matière "courbait" l'univers. Mais encore une fois inversons la proposition : et si la matière était la résultante de cette "courbure" au lieu de la créer.

Imaginons que l'engorgement ponctuel, en son sein, dans l'implosion crée un frein dans une zone (micro zone). Cette "zone" se verrait retardée dans sa temporalité de l'implosion générale. notons que l'engorgement peut en être la cause comme un retard initial aussi. Se crée alors ainsi une singularité oreilladesque dans l'effondrement général qui serait la matière visible et palpable.

courbure_espacePrenons l'équation d'Einstein E= Mcou M=E/c2

La masse, la matérialité de l'oreillade en question, est déterminée par rapport à la vitesse supposée de l'implosion (c) : notons aussi que toute énergie cynétique d'une masse est aussi déterminée par rapport à sa vitesse relative E= 1/2 Mv2 (quoi qu'ici l'équation d'Einstein serait plus adéquate). Dans notre hypothèse la formule E/c2 déterminerait en fait le retard relatif de l'implosion de l'oreillade (Masse) dans l'implosion générale de l'univers - enfin pas tout à fait, il faut distinguer dedans la "quantité de masse" de la variable "retard", les maths c'est pas mon fort au delà d'un certain niveau -. Mais ce retard serait stable, prédéterminé par l'énergie "cinétique" accumulée au départ par la masse en question dans son retard, retard lui-même prédéterminée par un niveau de retard stable : Moins de retard et l'oreillade rattrape automatiquement son retard, happée par le mouvement général implosif, plus de retard et l'oreillade "décrocherait" de l'effondrement général. Mais en soi la stabilité peut simplement s'expiquer par le fait que l'orreillade pour rattraper son retard implosif aurait tout simplement besoin d'une énergie considérable : le systhème serait ainsi très "inertique". Ceci dit il n'est pas exclu que plusieurs niveaux de stabilité soit possibles, ne soyons pas égocentrique. La matière noire et l'énergie feraient partie de ces niveaux de stabilité plus ou moins palpables dans notre perception des choses dans notre "temporalité".

Comme pour la matière dans la formation d'un système stellaire : au début les masses partent dans tous les sens et s'entrechoque, mais par gravitation, entrechoquements, ces masses finissent par former des systèmes stables, aux trajectoires plus ou moins coordonnées.

Je crois aussi à une sorte d'équilibre énergétique qui serait neutre globalement : les "niveaux" de retard auraient leur pendant global dans d'autres niveaux d'avance dans la temporalité d'effondrement. A la limite nous sommes peut-être dans ce cas de figure, mais je vois mal comment celui-ci prend sa source, sauf à considérer que chaque "creux" génère un "plein" : matière / anti-matière ? (oreillade inversée : chaque vague étant mue aussi pas le creux qui la précède, lui même généré par la vague précédente).

En gros on considère qu'il y aurait 99% de matière noire dans l'univers : il y aurait ainsi l'équivalent de 100 niveaux de "trains d'oreillades" dans notre univers. Sauf à considérer que l'influence des trains d'oreillades sur les autres soit d'une certaine proportionalité à la distance de temporalité qui les séparent. La plus proche auraient une influence de 98%, la suivante de 96% etc. Ce qui ferait qu'au bout, au delà de la centième, leurs influences tendent vers zéro. Bref l'influence globale de la matière noire se stabiliserait autour de 100 fois (10 000%) l'infuence de la matière palpable de notre perception, ce qui ne veut dire qu'il n'y ait plus de matière noire (voir tendant vers l'infini), mais que seule une infime partie influe sur notre perception, le reste pouvant être décrite comme de la matière "super noire" dont l'influence serait totalement invisible à notre perception même indirectement.

Bon, un petit break sur la Matière Noire : on ne la voie pas mais les calculs sur les mouvements galactiques montrent que pour que ces mouvements soient explicables, il faudrait que l'univers comporte 100 fois plus de matière que nous n'en percevons... d'où l'idée qu'il y aurait bien cent fois plus de matière, mais que 99% de celle ci serait imperceptible sauf dans son influence dans l'équilibre général.

Cette "matière noire" déterminerait la stabilité de notre univers dans l'inertie qu'elle y apporterait : notre galaxie se serait ainsi effondrée sur elle même depuis longtemps sinon. Mais dans notre référentiel, elle expliquerait la relative inertie des changements apportés par un train d'oreillades dans la dynamique générale. Reprenons l'image de la vague : une vague est une onde qui soulève et abaisse le niveau de l'eau verticalement en un point, mais ne déplace pas de masse d'eau horizontalement : ce n'est que l'onde qui se déplace horizontalement pas l'eau. Les masses d'eaux qui ont déferlées sur les Maldives lors du tsunami d'indonésie à plus d'un millier de Km ne sont que les masses d'eau locales qui sont montées localement par l'effet de l'onde du tsunami. Ce n'était pas des masses d'eau provenant d'Indonésie.

De même, dans notre référentiel, les "oreillades" ne parcourent pas l'espace-temps, elles ne sont que l'émergence d'une onde qui traverse la "matières noire" en la soulevant ponctuellement la faisant ainsi "émerger" à notre perception lors de son passage. La matérialité de nos perceptions ne serait que surfers en équilibre sur une vague qui ne déplace pas cette matérialité globalement, mais la fait émerger de proche en proche. Nous ne serions pas tant fait de maitères, que d'ondes qui nous feraient penser à la matérialité de notre composition, comme une vague donne l'impression que l'eau avance, alors que l'eau sur laquelle nous surfons n'est pas la même à l'instant "t" qu'à l'instant "t-1". La matière que nous observons maintenant n'est pas celle que nous percevions voici quelques secondes, elle se construit et se déconstruit à chaque instant générée par l'onde qui passe. La matière n'est pas stable en soi, ce qui lui confère sa stabilité c'est la dynamique stable de l'onde reproduisant les mêmes effets continus partout où elle remue le fond de la matière noire finalement stable : Comme les masses océaniques agitées par un tsunami qui passe sans déplacer leurs masses horizontalement, mais simplement verticalement sous l'effet d'une compression momentanée de ces masses à son passage, provoquant les même effets tout le long de son parcours.

Nous sommes l'onde, et pas l'illusion matérielle que cette onde produit. Pour reprendre l'image du surfer, ce dernier n'existe pas en tant que se déplaçant sur le sommet de la vague, il ne serait que la matérialisation de ce sommet à un moment donné. Comme la vague il n'avance pas mais est matérialisé à chaque instant par l'onde qui le traverse comme la vague : il se crée à son passage et se délite just'après. Mais comme il se rematérialise à chaque instant au sommet de la vague généré comme elle par l'onde, il a l'illusion de sa permanence. Ceci dit en tant que surfer, il lui reste quand même une certaine maîtrise dans la direction que va prendre sa rematérialisation, contrairement au reste de la vague qui n'est portée que par la dynamique finalement très inertique de l'onde.

*** Retour sur un univers constamment alimenté de l'extérieur dans son implosion. On voit bien comment l'implosion initiale peut s'amorcer en craquant la matière compressée, mais comment la matière happée dans ce tou noir imploserait-elle à son contact puisqu'il ny aurait plus de matière pour la faire craquer ? Par l'effet de marée, c'est à dire par spaghettification (voir > ICI < ).

Sauf que j'imagine notre univers comme rempli de matieres tellement craquée qu'elle en est impalpable, de la matière noire quoi. Notre singularité n'aurait pas sa masse concentrée en son centre mais répartie assez homogènement en son sein. Comment est-ce donc possible ? comme elle s'effondre sur elle même en même temps qu'elle s'effondre vers le centre, globalement vu en interne elle ne bouge presque pas. Un objet pénétrant dans cet univers serait aspiré de tous les cotés par cette masse impalpable qui l'entourerait de toute part, il serait ainsi spaghettifié mais pas dans le direction du centre mais dans toutes les directions en somme écartelé, comme un balon dans l'espace vide la matière exploserait ainsi. Mais en apparence seulement, comme un minibig bang, par ce qu'aussitôt craquée moulue dans ses plus infimes composantes, ces dernières n'ayant plus de matérialité pour compenser leur gravitation +, elles inploseraient alors avec le reste du "trou noir univers".

Petite digression dépressive :

l'humain n'arrête pas de prendre des grandes claques dans son auto-conception d'élu de dieu et pièce centrale de sa création. Nous ne sommes plus au centre du monde céleste et chaque siècle nous en apprend encore plus sur notre "excentricité" infinésitésimale dans l'univers. Au niveau intelligence unique, nous savons désormais qu'elle n'est pas un aboutissement mais une ébauche primitive issue de l'intelligence d'une bactérie au départ, Et l'univers regorge sans doute d'intelligences bien plus abouties.

On a bien cru y arriver en inventant la science, mais cette dernière n'arrête pas de repousser les limites de l'imcompréhensible tel que le "commun" y perd son latin. Nonobstant elle nous apprends à maîtriser la physique, alors que nous ne savons pas encore maîtriser notre maîtrise de notre maîtrise des choses (vous suivez ?) : Nous sommes encore de vrais bestiaux à ce niveau. Et nous venons de nous appercevoir que nous courrons à notre propre perte : Nous n'allons pas détruire notre monde par les bombes atomiques ou bactériologiques, mais par des comportements anodins de la vie quotidienne. Notre propre existence est la source même de notre perte (rien n'est perdu mais on est vraiment mal parti). Sans parler des méga-catastrophes que le monde est capable de produire tout seul à l'occasion, que nous découvrons dans nos recherches géologiques et météorologique de notre terre.

Ce topic est l'ébauche d'un bouleversement de nos connaissances, alors même que nous ne savons gérer nos maigres précédentes.

Là où les surfers les plus doués croient  pouvoir encore bien apprendre à maîtriser leurs techniques sur les vagues qu'ils perçoivent, nous percevons ici que ces vagues (même les méga tubes), ne sont que vaguelettes à la surface du méga tsunami qui nous porte en fait.

 Tout ceci est bien enthousiasmant quoi qu'un tantinet déprimant quand à notre superbe  Inch Pasta comme on dit






Questions annexes :

La temporalité des choses.

Il a été démontré qu'un objet à grande vitesse entrait dans une temporalité plus lente relativement à la notre, décrochait de notre temporalité en somme.

Mais aussi que parallèllement, il augmentait aussi de masse, que donc son changement de temporalité était intrinsèquement lié à l'augmentation de sa masse.

D'où, la temporalité est directement lié à la masse de l'objet. Dans notre référenciel nous inversons la proposition, la masse est liée à la temporalité de l'oreillade (matière ou autre) : La temporalité y étant défini par le différentiel de sa vitesse d'implosion * par rapport à son environnement "observateur".

Donc un objet serait d'autant plus massif qu'il prendrait du retard implosif *, dit autrement on vieilirait légèrement moins vite sur un objet massif, exactement comme en voyageant vite. Ceci dit pour vivre plus longtemps, il vaut mieux bouger beaucoup que de prendre de l'embompoint.

Notons aussi, que l'implosion se passant à vitesse phénoménale (c), une différentiation infime / cette vitesse moyenne d'implosion peut créer des effets spectaculaires (littéralement observable dans une temporalité donnée).

En fait l'augmentation de masse peut être intrinsèque (liée à la vitesse), ou cumulative : Une masse justaposée à une autre masse forment ensemble une masse plus importante. Autrement dit deux "oreilades" (on dira masses ici) signant chacune un retard de temporalité imposive, tentent en se rapprochant à accentuer leur retard implosif en les cumulant, ce qui crée une masse supplémentaire (retard implosif) mais qui se convertit en une énergie qui se compare à de l'inertie cynétique : en gros la gravité. cette convertion annule sans doute relativement l'effet retard implosif.

Je subodore qu'un petit schéma pourrait rendre le tout un peu plus digeste : (euh... je vous le fais à main levé comme d'hab. ... pas d'une précision milimétrique donc) :

Gravit_Ou l'on remarque que plus un objet se déplace vite plus sa vitesse d'implosion diminue (et tend donc vers zéro la vitesse de la lumière ici) , donc tend à devenir une onde. Pour ce faire l'objet dépense de l'énergie.

D'un autre coté, plus un objet ou collection d'objets sont massifs plus ils concentrent de l'énergie inertique (gravitationnelle), jusqu'à ce qu'il libère cette énergie en formant trou noir. Et là seulement il échapperait à l'implosion interne (pardoxalement) en implosant dans une sorte d'anhilisation de l'implosion par une autre implosion contraire. Comme si moins multiplié par moins donnait du plus, on suppose alors que les particules happées par le trou noir atteignent la vitesse de la lumière en interne en se décomposant vers l'ondulatoire qui resterait prisonnier de ce nouveau micro-univers.

Ces deux dynamiques qu'on verrait bien opposées aboutissent au même résultat. Mais si on compare ceci à une évasion de notre univers en tant que trou noir, ses parois, (! c'est une image grossière) qui nous confinent dans ce trou, en seraient liquides... à la vitesse de notre implosion chaque fois que nous aborderions cette paroi nous riccocherions dessus tel un caillou lancé sur une surface liquide (avec nos plus plates excuses pour les dommages causés à la paroi alors). Mais une particule qui arrêterait d'imploser aborderait la-dite surface liquide sans différenciel de vitesse et y pénêtrerait sans penne telle le Monstre en Spaghetti Volant traversant la matière : une évasion en douceur.

Par ailleurs si une masse agglutinée acquière suffisamment d'innertie, elle fera comme un énorme rocher à la surface de l'eau : elle s'y enfoncera quelque soit sa vitesse d'impact à son contact : une évasion en force.

on pourrait comparer la particule gagnant en vitesse vers l'ondulatoire (en fait perte de vitesse implosive), comme une évasion en hélicoptère. Alors que la concentration de matière consisterait plutôt à concentrer le poids de tous les prisoniers en un point du plancher jusqu'à ce que ce dernier cède sous le poids, s'ouvrant alors sur un conduit souterrain menant à la sortie.

une évasion vers le haut ou vers le bas en somme. Là on peut supputer : vers le haut signifie-t-il vers un univers plus vaste (vu en externe car pour l'observateur interne rien ne change) ? Et vers le bas un univers plus restreint vu en externe idem ? Ou bien finalement cela débouche-il sur le même anti univers au temps simplement inversé (vu en externe idem) ?

perdu ? la carte aux trésors

carte4 compteurs 

 .

28 octobre 2010

L'Islam : Le contre

Ce qui frappe tout d'abord dans le Coran, chez le non croyant, c'est son coté fouilli, fourre tout, et surtout contradictoire.

Après tout pourquoi pas, ça laisserait plus de place à l'interprétation donc au libre arbitre.

Mais voilà, maints versets sont extrêmement précis quand à la vie quotidienne, et les sanctions applicables pour tel ou tel acte, et sont difficilement éludables. Le pire étant qu'ils se réfèrent à une vie moyenageuse qui sont anachroniques désormais : des sourates entières dissertent de la façon de traiter ses esclaves (!) Nonobstant l'anachronisme patent, ça laisse entendre qu'Allah cautionne, voir sponsorise l'esclavage... La vie familiale y est codifié de façon clairement patriarcale jusqu'à la caricature.
Encore le monde musulman traiterait du texte comme un document ancien, à prendre avec un recul moderne, voir avec un sens  métaphorique au delà des mots, ça passerait. Mais visiblement non, la tendance est à rester scotché à la virgule près...

Et vu sous cet angle, ça devient souvent atterrant. Surtout lorsque ça sert de base juridique dans une charia : Nonobstant la charia ne fait pas partie du Coran, elle n'a été réécrite que 200 ans plus tard à partir du Coran et de coutumes locales prétendument issues du Coran, mais elle existe et a été plus ou moins intégrée au Coran dans certaines régions.

1. Les anachronismes :

  1. On passera en vitesse sur l'esclavage, en notant néanmoins que cela pose problème encore lorsque des potentats musulmans viennent en France avec leur aéropage qui comprend parfois ce que l'on ne peut qualifier que comme des esclaves (personnes nourries, logées, pour travailler sans salaire, et sans possibilité de partir de leur plein gré). Régulièrement elles cherchent à s'échapper durant leur séjour.
  2. La charia donc : mains coupées aux voleurs, lapidation de femmes infidèles (et pas les hommes !), peine de mort pour blasphème, interdiction de quitter l'Islam pour une autre confession... quasi soumission de la femme dans le mariage avec sa répudiation possible sans autre forme de procès quasiment (et pas l'homme), Nobostant la femme est une espèce de marchandise ayant pour fonction dans la famille de procréer et d'objet de jouisssance pour l'homme... En règle général elle n'a droit qu'à la moitié de la part de l'homme (héritage, sanctions -x 2- ,etc.) etc. etc.

Soyons clairs, si la chrétienté avait codifié religieusement les coutumes du moyen age, on n'en serait pas loin. Il y avait les serfs, le statut de la femme n'était guère plus reluisant, et les sanctions tout aussi barbares. Sauf que ce n'était dans les textes fondateurs (sauf la bible secondaire), et c'est demeuré coutumier donc succeptibles d'évolutions sociétales : Ouf !
Mais l'Islam en reste tributairement moyennageuse.

l'Islam peut-il s'en affranchir  en prenant ses distances avec le texte ?

2. La genèse du texte : (repris de "épistémologie génétique des religions")

Mahomet, analphabète, ne l'a pas écrit (pas plus que Jésus les évangiles). Des dissiples, trié sur le volet par les Califes, en place à ce moment là, s'en sont chargé pour Eux (Califes ou Mahomet ?), parfois par approximation dévoyant le fond de Sa Pensée. Justement, il est dit de façon très claire, qu'il n'existe aucun manuscrit original du Coran : Le Coran, fut retenu de mémoire par les premiers musulmans et noté par des scribes sur divers supports tels que des morceaux de bois ou des os de chameau. Après la mort de Mahomet, le premier Calife Abou Bakr (632-634) fit noter les sourates "connues", par des scribes comme le calligraphe Zayd ibn Thabit, secrétaire Juif du Prophète Mahomet qui connaissait le Syriaque et l'Akkadien (les légendes Juives et Assyriennes ont pu ainsi transpirer dans ses retranscriptions de partir de ses souvenirs: telle ou telle parole de Mahomet lui rappelant plus ou moins telle ou telle légende Assyrienne,ou Juive : n'oublions pas que  la culture arabe était alors imprégnée de ces légandes) le chargeant de présider une commission de copistes composée de : Abd-Allâh ibn Az-Zoubayr, Sa`îd ibn Al-`Âs et `Abd Ar-Rahmân ibn Al-Hârith ibn Hichâm, 3 Qoraychites proches d’Othman. Plus tard, le troisième Calife Othman (644-656) ordonna la recension des sourates (chapitres) en un livre avec l'aide des quatre plus grands érudits de l'époque en matière coranique. La version définitive du Coran, établie à Médine en 651 et connue sous le nom de Mushaf d'Othman, fut déclarée seule version faisant autorité, annulant toutes les autres,' avec ordre de détruire les autres traces écrites qui auraient pu subsister de manière à ce qu’il n’existe qu’une version du texte sacré.

En particulier celles de Ali et Ibn Massoud, qui contenaient trois fois plus de versets que la version d' Othman. tous deux étaient des proches de Mahomet himself, au point qu'Ali  (protégé, cousin, frère spirituel, disciple et gendre de Mahomet : excusons du peu) fut désigné premier Imam de l'Islam. Ibn Massoud fut le premier à initier l'enseignement coranique, et son Coran courrait encore sous le manteau trois siècles après celui d' Othman. A suivre : des fragments de ces Corans ressurgissent à l'heure actuelle...

De plus, Mahomet n'a jamais validé le respect de ce texte précisement, n'étant pas encore écrit en la forme... Mieux, analphabète lui-même, il avait conçu au contraire que le coran soit transmis oralement par les musulmans, et devaient en celà l'apprendre par coeur en sept langues (!), sans doute pour convertir le plus de monde posssible. Bref l'idolatrie du Livre est une quasi hérésie face à la volonté initiale de Mahomet. On put se racrocher aux branches en disant que c'est une concession pratique à la modernité de l'époque (l'écriture), mais celà veut alors dire que la parole divine peut faire des concessions pratiques à la modernité... Mais aussi la tradition orale, voulue par Mahomet, conrespondait-elle aussi à un dessein visant à ce que la parole s'adapte aux fils des humeurs du temps ? (Principe du téléphone arabe)

Soit dit en passant, Othman (protégé de la dernière femme de Mahomet) était un vrai despote népotique qui ne supportait pas la contradiction, et assit justement son pouvoir en tranchant joyeusement dans les versions du Coran des partisants de ceux qui pouvaient lui porter ombrage.  Il fut d'ailleurs assassiné par ceux qui ne supportèrent pas cette censure, et son despotisme social (critiqué par Ali). Ali pris sa suite, mais composera avec les ex partisants de ce dernier, puis fut assassiné lui-même par ceux qui lui reprochaient sa mansuétude. Néanmoins le courant Chiite lui a survécu, qui considèrent Ali comme le "détenteur des secrets divins et de la signification ésotérique de l'islam", qui lui aurait été transmis par Mahomet.

N.B. : Les quatre 1ers califes sont qualifiés (califiés) de "bien guidés", donc intouchables par les musulmans, mais on notera que les assassinats d'Othman et d'Ali, révèlent des "guidances" pour le moins divergentes (qui poseront  d'ailleurs les bases de la division des 3 grands premiers courants divergents de l'islam : sunnite, chiite et kharidjite). Et si Ali fait partie de ces "bien guidés", c'est d'avoir précisément refusé de condamner les abus de son prédécesseur Othman), pour éviter un schisme de l'Islam - mais qui aboutira à un 3ème schisme, en plus de celui qu'il voulut éviter.

Du fait, c'est la dynastie désormais héréditaire des Omeyyades (famille d'Othman) qui pris le pouvoir, en massacrant les chiites. Ils intronisèrent définitivement leur Coran (d'Othman).

En définitive, on voit bien que le Coran "officiel" ne fut jamais que le résultat d'une lutte d'influence pour le pouvoir terrestre. Comprenons bien : Les Omeyyades avaient leurs propres érudits Coraniques : Ils avaient été remplacés par Ali considéré comme plus érudit qu'eux sur la question. En revenant au Pouvoir les Omeyyades ont expurgé de leur  Coran officiel tout ce qui venait d'autres érudits : Qui aurait permis à leurs partisans de revendiquer le pouvoir terrestre au nom de cette érudition. La question n'était donc pas tant théologique, qu'à proprement parlé stratégique.

Et soyons clair, les fortes exhortations de ce Coran à ne pas remettre en cause son contenu visaient plus à terroriser les partisans des autres prétendants au pouvoir par leur grande érudition (leur connaissance de leurs versets ...censurés), qu'à mettre en garde le Musulman de base contre une remise en cause de la parole de Mahomet en elle même. D'où découle probablement les germes du caractère intégriste de toute lecture ultérieure de ce Coran... N'oublions pas le massacre des Chiites ! Je ne prends pas partie d'ailleurs, je constate simplement les effets d'une guerre de pouvoir intérieure dans la pollution de la genèse d'une Foi.

Rappelons qu'Othman était un despote social et népotique, assoiffé de pouvoir, il ne serait donc pas étonnant qu'il fit passer dans son Coran les questions théologiques essentielles à l'arrière plan, pour mettre en avant des règles sociales strictes, qui lui permirent de mieux soumettre ses "ouailles" à son autorité. Ce que fit d'ailleurs aussi la chrétienté une fois intronisée religion d'état ; Sauf que les textes était déjà trop connus pour être dévoyé en profondeur, ce qui ne l'empêchapa de choisir 4 évangiles parmi les 30 en circulation alors, en éradiquant les autres. Mais l'Islam le fit d'emblée de façon plus brutale.

Et l'on peut donc se demander si les contradictions entre la Miséricorde et la Clémence Divine constamment réaffirmeés d'un coté, et les "règles" assez lapidaires et "brutales" de l'autre ne sont pas l'oeuvre d'une relative "manipulation" d'Othman sur la transcription du texte. Non qu'il soit franchement faux, mais tout du moins "orienté" de façon à faire passer le subalterne en avant pour assoir son pouvoir en reléguant l'essentiel au second plan ?


Bref, la position despotique initiale des Omeyyades dans la défense de leur pouvoir au travers de leur Coran a rendu problématique toute prise de distance ultérieure avec ce dernier, voir toute ouverture avec une lecture plus souple du texte fondateur.

Et l'Islam reste scotché à ce dernier, et surtout à la posture que celui qui détient la "bonne" interprétation peut prétendre au pouvoir terrestre, d'où maint dérives intégristes visant à inféoder le croyant à telle ou telle lecture du texte, c'est à dire l'inféoder à celui qui l'interprète prétendument fidèlement : Tout ceci dans une posture coercitive hérité de sa genèse.

L'Islam ne pourra prétendre sortir de cette ornière qu'en pratiquant une "cathasis" de cette genèse.

Soyons clairs qu'Ali n'a jamais brtgué le pouvoir terrestre pour lui même, il ne pris le poste de calife que sous la pression de la vindicte populaire contre le despotisme social d'Othman qui venait d'être assassiné, sa mansuétude (à l'intar du Très Miséricordieux, et très Clément) lui vaudra même d'être lui-même assassiné par les revanchards contre Othmam. Quand à Ibn Massoud, Il ne briguera jamais aucun pouvoir terrestre.

Ils sont en eux même détenteurs de la pureté originelle de l'Islam dévoyé à des fins terrestre par Othman. Mais revenir aux origines de l'Islam reviendrait à remettre en cause le sunnisme à l'heure actuelle (90 % des musulmans), alors même que les chiites sont eux même de plus en plus imprégnés du despotisme coercitif "génétique" de leurs ennemis héréditaires, et désormais fort peu enclin à remettre en cause la version du Coran qui créa leur schisme pourtant.


Nonobstant, les versions palpables les plus anciennes connues dudit Coran datent de 400 ans après Mahomet, et sont loin d'être limpides quand à leur traduction en arabe moderne :

Ainsi les Versets transcrits les plus anciens sont fort compliqués à comprendre en arabe moderne. Leur écriture était des plus frustes : sans voyelle, sans accent, et sans ponctuation. Du fait nombre mots portent à interprétation (Une voyelle ou accent à la place d'un autre en font un mot différent, et un sens différent au verset donc), en plus du sens général des phrases qui peut changer suivant qu'on décide de "ponctuer" la phrase à un moment où à un autre. Par exemple " L'élève, dit le professeur, est un imbécile ", ou bien " L'élève dit : le professeur est un imbécile ", confère à la phrase ses sens diamétralement opposés.

Un trop grand respect du texte moderne est sans doute entaché de maints trahisons du texte initial, déjà lui même historiquement tronqué nous l'avons vu.

En ces sens l'Islam a un bon bout de chemin a parcourir pour prétendre être à la hauteur de la révélation initiale, sans doute assez éloignée d'un texte entaché de contingences terrestres pourtant érigé comme intouchable (de part son histoire "génétique").

Une autre ouverture plus théologique qu'historique :

A considérer les "sanctions" préconisées dans le Coran comme "ce que devrait craindre l'humain de la colère divine", on doit alors relativiser ce qui est applicable sur terre à la mesure de ce que dit le Coran de la colère divine : Sa Mansuetude et Sa Clémence l'emporte TOUJOURS sur sa colère. En d'autre terme, les sanctions préconisées par le Coran ne seraient pas  applicables telles que sur terre : Il ne conviendrait pas d'y relayer le courroux divin sur les humains à travers ces préceptes alors même qu'Allah aurait déjà possiblement exercé Sa Divine Clémence.

En fait il est impossible de savoir pour un croyant si Allah a été clément ou pas à propos de tel ou tel acte, (sauf que Sa Clémence l'emporte toujours !) Il s'est écrit qu'il faut sanctionner tel ou tel acte (car courroussant Allah potentiellement), mais en même temps Il est aussi éccrit qu'Allah exerce Sa Clémence quasi systématiquement. A la limite aucune sanction n'est à prendre AU NOM D'ALLAH. Ce qui pose un problème d'ordre public à terme... Cette lecture ouvre la voie au laxisme le plus total : Ne jamais sanctionner (au Nom d'Allah).

Ce qui en soi ouvrirait la voie à la laicité : Si on n'y pourrait jamais sanctionner au nom d'Allah, on peut le faire au nom de la communauté... Et même si cela courrousse Allah qu'on sanctionne parfois ce qu'il a déjà pardonné, le même principe s'applique : "s'Il est en colère contre cette sanction à l'encontre de sa volonté, sa Clémence est sensée prendre le dessus systématiquement". L'Islam pourrait être  à priori vachement "cool", c'est la lecture du Coran trop littérale sur certains versets pris  isolément hors contexte global du Coran dans son ensemble qui pose problème.

Rappelons que tout ceci s'applique aux non-croyants aussi sur terre, Ils ne seront écartés de la divine Miséricorde que dans l'au delà, pas avant.

Le Coran n'est pas trop prolixe en fables et miracles

A priori ce serait plutôt bien, mais non.

La chrétienté, très attachée à la bible, s'est longtemps accrochée à l'histoire de la genèse... jusqu'à ce qu'elle soit battue en brèche par la science sur la réalité vérifiable. Du coup toute lecture littérale du texte  a du être proscrite pour une lecture "symbolique"... lecture symbolique renvoyant à des interprétations forcément plus souples qu'une lecture littérale. Souplesse permettant au texte de garder une certaine crédibilité face à la science, mais qui permit aussi d'adapter la théologie aux évolutions sociétales.

Le Coran étant plus proche des contingences matérielles, sa remise en cause par affabulation en est plus difficile. Et si le Coran reconnait la bible comme officiellement valable, le seul texte réellement sacré pour un musulman reste le Coran et lui-seul.

Heureusement, si on peut dire, le Coran a pompé quelques passages sur la bible en particulier sur Adam et Eve et leurs descendants. De fait, le musulman un peu érudit se trouve dans le questionnement de savoir s'il faut lire le créationnisme livré dans le texte de façon littérale ou méthaphorique. Donc voir la religion comme compatible ou pas avec les données scientifiques qui s'accumulent de plus en plus avec la filiation de l'humain avec le singe.

Plus ou moins officieusement, pour le musulman de base, l'humain aurait été créé par Allah sous forme d'Homo Sapiens voici 200 000 ans en Etiopie. Le Cromagnon serait apparu sur terre directement sans ascendance (Adam).
Tout autre concept est hérétique pour l'instant. Mais des brèches ne manqueront pas de s'ouvrir à chaque chaînon manquant qui apparaîtra, nonobstant des gènes de néanderthal ont été retrouvé dans l'homme moderne en en faisant un hybride cromagnon-néanderthal,, or pour le coup les chaînons manquants entre singes et néanderthal ont été clairement identifiés.

Bref tôt ou tard, le Coran va se retrouver nez à nez avec des preuves scientifiques contraire au texte : ment-il ou est-til méthaphorique ? Restera aux musulmans 2 options : nier la science, ou quitter une lecture littérale du Coran pour une lecture symbolique.
Et vu la tendance actuelle ça risque carrément de créer un shisme.

Car à partir du moment où un verset doit être lu méthaphoriquement, se pose la question de quels autres versets aussi, et pourquoi pas tous ? Or le Coran rythme la vie du musulman de la naissance à sa mort, il codifie sa vie : Etre musulman c'est s'y conformer. Donc si le code perd sa valeur littérale, sa précision n'est plus, et donc toute interprétation méthaphorique exotique peut y être opposée, en particulier la gestion sociale.

Si la codification sociale n'est plus à prendre au pied de la lettre, ça laisse entrevoir que cette codification était valable à l'époque de Mahomet et à prendre comme exemple d'adaptation de la volonté divine au contexte d'alors ; Mais serait donc aussi à adapter au contexte actuel de façon tout aussi métaphorique.

Bref une révolution, mais qui ne se fera pas sans heurt entre créationnistes littéraux et modernes métaphoristes (acceptant les données scientifiques)

 

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26 octobre 2010

L'Islam : le pour

C'est compliqué :

Contrairement aux catholiques, il n'y a pas de doctrine officielle, il s'apparente en cela au protestantisme, le protestantisme encourage chacun à avoir sa propre lecture du texte.

La théologie est plus fonction des mouvances politiques qui le traversent, que d'une idéologie précise.

De fait, la base actuelle de l'Islam est le Coran d'Uthman, Les Juifs, un peu chafoins, et au fait de la genèse de cette religion, parle même de la religion d'Uthman, Mais il est désormais reconnu par tous les musulmans, même les chiites, faute de disposer des versets d'Ali (leur leader) et ceux de Ibn Massoud, détruits par Uthman pour les marginaliser.

C'est compliqué, car ce Coran dit tout et son contraire. Certains exégètes prétendent que lorsque deux versets se contredisent, c'est le plus récent qui prévaut, "abrogeant" le plus ancien. Mais les spécialistes, précisent que cette notion d' "abrogation" des textes plus anciens ne vaut que pour la Bible et les Evangiles, le Coran représentant la dernière et plus récente révélation d'Allah, étant revenu sur ce qu'il avait révélé aux humains auparavant... mais ceci ne vaudrait pas pour le Coran à prendre dans son intégralité sans aucune abrogation.

Donc lorsque deux versets se contredisent, il faut interpréter celui qui convient le mieux à la situation donné, Cela donne à chacun une certaine latitude d'interprétation, et donc d'action, en regard. Là où ça se corse (disait Napoléon), c'est que chaque courant de l'Islam met plus particulièrement l'accent sur tels ou tels versets. Même les pays appliquant la charria, l'applique plus ou moins à la lettre ( On ne lapide, ou ne tranche plus forcément les mains selon).

BREF ! Il est difficile de dégager des grands principes fondamentaux. Mais donc s'il n'est pas possible d'interpeller d'instances centralisatrice de la foi, on peut tenter d'interpeller les croyants au coup par coup sur leurs principes. En terre Laïque ça passe très bien : Le croyant apprécie généralement qu'on lui cite un ou deux versets (preuve qu'on respecte sa religion), surtout si ce sont des versets qui lui renvoie une image positive de sa religion (tolérance, miséricorde, clémence).

Mais essayons quand même. et re-précisons de suite qu'il s'agit d'une évaluation non musulmane (maints courants considèrent qu'une "évaluation" de sa propre religion serait en soi une hérésie). Mais par définition, un non croyant peut le faire en terre laïque : ne vous y risquez pas en Egypte, Iran, ou Pakisrtan (ça peut aller jusqu'à la peine de mort).

Il est utile ici de rappeler les critères d'évaluation retenus ici :

  1. L'adaptabilité du dogme face aux révélations de la science moderne.
  2. La tolérance face aux non-croyants.

1. Face à la Science

L'Islam classique (700-1300 ap JC) a été une grande civilisation scientifique.

L'Islam a d'abord été relativement tolérante vis à vis des peuples conquis, incorporant leurs savoirs à leur approche plus pragmatique que théologique des choses.
Deux grands principes à l'approche du savoir :

  1. L'érudition se doit d'embrasser tous les savoirs, tant scientifiques, politiques, économiques, philosophiques et théologiques, sans préséance. Ce qui n'empêche en rien de se spécialiser dans un domaine aussi.
  2. Le savoir se doit d'amener quelque chose de concrètement positif à la société (et/ou aux mécènes qui sont en charge de son administration).

De fait cette civilisation va reprendre à son compte les savoirs grecs, romains, mésopotamiens, perses, égyptiens, etc. puis les développer. Mais la complexifications des savoirs va amener chaque discipline a être de plus en plus éloignée des autres. A son apogée, certains philosophes iront jusqu'à prôner le nécessité pour la philosophie de prendre un recul extériorisé vis à vis des autres disciplines, afin que sa pensée ne soit pas polluée par son intrication avec ces dernières.

Mais les défaites contre les croisés et les mongols vont faire croire qu'Allah avait abandonné ses ouailles par manque de ferveur, d'où un retour en force de la théoloqie dans les sciences, qui se voient alors inféodées à elle. marquant ainsi une limite à une trop grande spécialisation des savoirs (devant rester accessible aux théologiens), tant en philosophie, économie, politique, etc..

Néanmoins, l'abord des sciences restera toujours assez pragmatique, si l'on excepte les sciences sociales et philosophiques. Tout de même, ce retour de la théologie entrainera certaines dérives "créationnistes" dues au manque de recul de certains face  à une lecture trop littérale de la bible (comme chez certains chrétiens).

De fait, l'Islam traverse désormais une crise du "savoir", non seulement par son encadrement théologique, mais aussi surtout par l'avance pris par l'occident du fait. Les savants occidentaux passent pour des agnostiques, quasiment pour des mécréants quoi, et par amalgame la science s'en retrouve plus ou moins diabolisée (un chemin qui écarterait de la foi !).

Le pragmatisme reste de mise, mais avec une défiance certaine, plus ou moins marquée suivant les domaines.

2. Allah "Le Clément", "Le Miséricordieux" : Ce sont quand même deux NOMS PROPRES affectés à Allah.

En effet, la miséricorde d'Allah s'étend à TOUTE sa création ("Ma miséricorde embrasse toute chose" Coran 7:156), et Il est souvent stipulé qu'elle s'applique aux humains (sans distinction, et parfois il est fait aussi mention de "fidèles" en circonstances particulières), et même le mécréant en fait partie : Là faut argumenter serré, vu ce que le Coran dit des mécréants par ailleurs.

Notons que le Coran a été écrit à une époque où les gens étaient encore à convertir, donc tout postulant potentiel a droit à tous les égards à priori (vous sentez bien que vous ne pouvez pas encore vous engager, vous êtes un peu négligent à l'étude du Coran je le sens bien, et donc pas encore assez digne d'être musulman). Notons donc au passage que le musulman de "naissance" devra suivre le Coran à la lettre durant toute sa vie pour mériter son paradis, alors que le converti y a droit d'emblée (même s'il se convertit sincèrement 5 mn avant sa mort, franchement pas juste !).

Pour être très précis, La mansuétude d'Allah (et des musulmans donc) s'étend à TOUS les humains durant cette vie, mais ne sera réservé qu'aux croyants du livre dans l'au delà. 1 % ici bas et 99 % dans l'au delà ( Mais 1 % de l'infini, c'est déjà considérable !)

Donc aussi la miséricorde divine sourit aux miséricordieux eux même : "Le Miséricordieux (Allah) fera preuve de miséricorde envers les gens qui sont compatissants et cléments. Soyez cléments envers ceux qui sont sur terre et Celui qui est au-dessus des cieux vous fera Miséricorde."

A priori, le musulman se doit d'être clément et miséricordieux à l'image de sa Déité, et rien n'indique que cela ne s'applique pas à tous en tant que faisant partie de la création, et tout spécialement donc à vous si vous êtes aussi miséricordieux.

Attention ! Le musulman ne tend pas l'autre joue (faut pas déconner !) : "Allah ne sera pas miséricordieux avec quelqu’un qui n’est pas compatissant envers les gens." (et le musulman aura tendance à suivre, du fait les musulmans ne sont plus trop enclin à la clémence envers les chrétiens -et occidentaux- depuis les croisades : Faut pas hésiter à dire que c'était indigne de bons chrétiens et surtout qu'il ne faut pas mettre tous les chrétiens -et/ou occidentaux- dans le même sac : Les aventurier croisés allant chercher fortune et nouveaux fiefs en terre saintes d'un coté, et paisibles chrétiens restés cultiver leur miséricorde au pays de l'autre).

N'hésitez pas à faire valoir que la clémence d'Allah est sur vous, et qu"il ne conviendrait pas à un musulman d'aller contre la volonté d'Allah...

A ceux qui seraient tentés d'aller contre, en prétendant que vous êtes sous le coup de la colère divine, rappelez leur que "En vérité, Ma miséricorde a le dessus sur Mon châtiment", et qu'il ne conviendrait pas pour un musulman d'outrepasser ce précepte qu'Allah vous accorde LUI-même.

En résumé, à priori, il n'y a rien à craindre des musulmans de bases et de l'Islam, Seuls quelques Djiadistes allumés, considérant qu'on les a agressés (manque de miséricorde envers eux ouvrant le droit -et devoir ?- à une riposte sans miséricorde). Mais encore une fois, tout dépend de l'interprétation de textes contraires de tel ou tel groupe.

Ceci est valable en occident, mais la pratique dans certains pays "islamites" est très loin de ces principes de base, à priori en tant qu'occidental vous avez droit à une certaine tolérance, mais renseignez vous bien avant de partir, et sur les lois en vigueur, et surtout sur l'humeur du moment.

3. L'humain est un pêcheur :

Comme chez les chrétiens ? Non !...

Allah ne s'est pas sacrifié pour nos péchés dans l'Islam, et donc il n'y a pas à souffrir pour payer les souffrance de Jésus en retour : Sur le fond c'est beaucoup moins masochiste (bon on verra toujours des tordus pour se fouetter au sang, mais c'est pas vraiment dans le contrat initial).

Allah considère donc aussi que l'humain n'a pas à être parfait,  et est même d'une bonne volonté manifeste pour nous en excuser (plus que l'autre) : "Je lui pardonne pour la troisième fois. Qu’il fasse ce qu’il veut, Je lui accorde d’avance le pardon" . Franchement, on peut pas mieux, Il suffit juste de se repentir sincèrement de ses mauvaises actions.

Et il est clair qu'il n'y a pas de péché originel : Allah nous aurait fait ainsi, et ya pas à chercher plus loin. ET IL assume tellement qu'il est dit même : "Si les êtres humains ne commettaient pas de péchés, Dieu créerait d’autres créatures qui commettraient des péchés pour ensuite les leur pardonner" . C'est quasiment une jublialtion pour Lui, que nous Lui permettrions d'assouvir (bon s"agirait quand même d'être sincère à minima). Un vrai régal : La culpabilisation et contrition perverse chrétienne sont bien loin.

En fait, l'Islam moyennement pratiqué en terre laïque, ça pourrait-être presque sympa de ce coté là (Vous ne reconnaissez pas L'Islam là de dans ? Ah bon? mais voir donc aussi le contre)

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